Nik Gugger

Nom
Nik Gugger
Année de naissance
1970
Domicile
Winterthour
Profession
Entrepreneur social
Mandate
Conseiller national
Website
www.nikgugger.ch

Smartspider

255075100Offene Aussenpolitik Liberale Wirtschaftspolitik Restriktive Finanzpolitik Law & OrderRestriktive Migrationspolitik Ausgebauter Umweltschutz Ausgebauter Sozialstaat Liberale Gesellschaft

La politique est une source de joie

Pour moi, la politique, c'est l'intrépidité et la joie d'être avec mon prochain..

En tant que philanthrope et bâtisseur de ponts, il est important pour moi d'encourager les gens. J'ai écrit un livre sur ma vie et j'ai donné la parole à des personnes qui ont voyagé avec moi et que j'ai encouragées.

Entgegen alle Widrigkeiten - Menschen ermutigen

Curriculum vitae

Professionnel 
Je suis depuis 15 ans entrepreneur et coach..

De 2003 à 2008, j'ai dirigé la Fabrikkirche de Winterthur. J'e produis également ma propre boisson au gingembre sans alcool, "Zingi", ainsi qu'un vin au gingembre, "Ginger".

Expérience politique 
depuis 2017     Conseiller national, membre de la Commission de politique étrangère 

2014 - 2017      Député au Grand conseil zurichois, membre de diverses commissions parlementaires
2008 - 2014      Président du groupe parlementaire PEV au Conseil de ville de Winterthour
2002 - 2014      Membre du Conseil de ville de Winterthour, membre de diverses commissions parlementaires 

Mandats actuels 
Vice-président du PEV Suisse 
Vice-président de BirdLife Suisse 
Vice-président de Parents Suisse 

Président du groupe parlementaire indo-suisse 

Vice-président du groupe parlementaire helvético-ukrainien 
Président de la directin de ConCordis Sàrl 
Vise-président du CA de Herzkraftwerk SA 
Membre du CA de Mietauto SA 
Ambassadeur de READY! Jacobs Foundation Suisse 
Conceiller global de KIIT et du Kalinga Institute of Social Sciences, Inde

Mes interventions au Parlement

En novembre 2017, j'ai prêté serment comme Conseiller national PEV. De par mes racines indiennes, c'est surtout la politique étrangère qui me tient à cœur et c'est pourquoi je suis également membre de la Commission de politique extérieure du Conseil national (CPE). Depuis les élections de 2019, je fais en outre partie de la délégation suisse du Conseil de l'Europe, qui siège à Strasbourg. 

En tant que Conseiller national, l'éthique dans l'économie me tient particulièrement à cœur. Cela concerne par exemple la place financière suisse, l'attitude responsable des fournisseurs d'accès à Internet (protection des mineurs contre l'accès à la pornographie) ou la promotion des entreprises sociales en général. En tant que vice-président de Bird Life Suisse, la promotion de la biodiversité me tient également à cœur. L'utilisation de pesticides hautement nocifs, dans l'agriculture comme dans les jardins privés, me préoccupe particulièrement et je m'engage ici pour une politique prévoyante et durable afin de sauver notre biodiversité.

Vous trouverez ci-dessous quelques-unes de mes interventions, qui m'ont permis d'enregistrer mes premiers succès au Conseil national. C'est avec plaisir que je défendrai quatre ans de plus ces projets.

Promotion des entreprises sociales

Les entreprises sociales sont des entreprises privées qui ne se concentrent pas uniquement sur leur propre profit.

[Translate to Français:]

Soziale Unternehmen sind Privatunternehmen, die nicht nur auf den eigenen Gewinn fokussieren, sondern auch das ökologische, soziale und kulturelle Wohl der Gesellschaft langfristig unterstützen. Solche Unternehmen sind eine grosse Bereicherung für unsere Wirtschaft und Gesellschaft. Doch aufgrund der Konkurrenz, die sich einzig ihrem eigenen finanziellen Gewinn verpflichtet sieht, haben es solche Unternehmen derzeit noch sehr schwer. Um es sozialen Unternehmen vermehrt zu ermöglichen, sich auf dem Markt zu etablieren, braucht es dementsprechende Rahmenbedingungen.

 

In meinem Vorstoss fordere ich den Bundesrat auf, die gesetzliche Rahmenordnung zur Förderung des sozialen Unternehmertums anzupassen. Dabei soll insbesondere eine gesetzliche Grundlage geschaffen werden, um die Anerkennung und Förderung von sozialen Unternehmen zu ermöglichen. Darüber hinaus muss der Bundesrat die Förderung von sozialen Unternehmen in die Strategie Nachhaltige Entwicklung 2030 einbinden. 

Der Nationalrat hat diesen Vorstoss am 12. Juni 2023 mit 93 zu 80 bei 10 Enthaltungen angenommen. Nun wird der Vorstoss als nächstes vom Ständerat behandelt.

Weitere Informationen: www.parlament.ch

Protéger efficacement les moins de 16 ans contre les contenus pornographiques sur Internet. #banporn4kids#

Dans ma motion "#banporn4kids#", il est question de santé publique et de protection pratique des enfants et des jeunes. Les enfants et les adolescents doivent être protégés contre la pornographie en ligne. Les dispositions et mesures de protection actuelles sont insuffisantes, inefficaces et inappropriées, comme l'ont clairement démontré différents tests effectués en Suisse. La police municipale de Zurich constate par exemple que, bien que la loi n'autorise les contenus pornographiques qu'à partir de 16 ans, il n'existe à ce jour aucun moyen efficace de contrôler l'accès à ces contenus.

En Suisse, l'article 197, alinéa 1 du Code pénal interdit de rendre accessible du matériel pornographique à des personnes de moins de 16 ans. L'offre pornographique sur Internet, librement disponible dans la réalité, constitue une violation de la protection de la jeunesse et est donc clairement illégale. Malgré cela, un pourcentage élevé d'enfants et d'adolescents fait déjà ses premières expériences avec la pornographie en ligne bien avant l'âge de 16 ans ou consomme même régulièrement de la pornographie. En moyenne, les garçons entrent en contact pour la première fois avec du matériel pornographique à l'âge de 11 ans.

Des études montrent que la consommation intensive de pornographie a des conséquences psychiques et physiques pour les enfants et les adolescents. Elle peut par exemple conduire à une représentation déformée de la sexualité. Les jeunes âgés de 11 à 14 ans ne sont pas suffisamment en mesure de faire la différence entre la fiction et la réalité.Un langage obscène et cru favorise ces pensées et ces actes biaisés.

Bien que le Conseil fédéral se soit opposé à cette intervention, le Conseil national a approuvé ma motion le 9 mai 2022 par 109 voix contre 66 et 11 abstentions. Entre-temps, le Conseil des États a également approuvé lla motion sous une forme modifiée, de sorte que nous allons maintenant la traiter à nouveau au Conseil national.

Plus d'informations : www.parlament.ch

Mon exposé au Conseil national : Discours

Une gestion éthique et durable dans le secteur financier et les entreprises parapubliques (minimisation des risques)

La débâcle du CS a ébranlé la place financière suisse et a montré que l'éthique dans la gestion d'entreprise est essentielle, notamment pour la place financière. Dans un postulat, je demande au Conseil fédéral un rapport sur les questions suivantes :

1. Le Conseil fédéral doit montrer si et comment certaines parties reprises du CS peuvent continuer à être maintenues en tant qu'entité autonome. Il est particulièrement important dans le futur de conserver les activités commerciales avec les entreprises, le financement des exportations et le financement du commerce international (le 'trade financing international'), ceci afin de garantir la compétitivité de la place économique suisse et d'éviter la dépendance d'une banque universelle. En outre, le Conseil fédéral doit examiner avec la COMCO, le SECO, la Finma et la BNS s'il est possible de créer une nouvelle banque indépendante avec le modèle d'affaires susmentionné.

2) Le Conseil fédéral doit élaborer avec la Finma un plan visant à empêcher l'UBS de prendre des risques inconsidérés à l'avenir.

3. Que se passerait-il en outre si l'UBS, en tant que 'banque d'Etat' dans la pratique, devait subir des pertes qui devraient être couvertes par l'État ? On ne peut pas éliminer les risques, mais qui prend la responsabilité de leur minimisation ?

4) Le Conseil fédéral est-il prêt à redéfinir la culture salariale des entreprises proches de l'État ? En cas de bonne ou de très bonne marche des affaires, une rémunération variable de deux mois de salaire au maximum doit être versée en plus. Pas plus.

Informations : www.parlament.ch

Exonération des gaz renouvelables de la taxe sur le CO2

Si nous voulons réussir le tournant énergétique, nous avons besoin d'un bon mix énergétique et le biogaz et, à l'avenir, le gaz synthétique en font partie.

De nombreux fournisseurs de gaz font aujourd'hui la promotion de produits écologiques, en ajoutant par exemple un quota de dix ou vingt pour cent de biogaz à leur produit gazier. La demande pour ces produits écologiques est si importante que la quantité de biogaz vendue dépasse largement la quantité de biogaz produite en Suisse. Les fournisseurs de gaz achètent donc du biogaz à l'étranger au moyen de certificats et importent virtuellement le gaz en Suisse.

Virtuellement, cela signifie par exemple que le biogaz est injecté et consommé localement dans le réseau de gaz du nord de l'Allemagne, que le certificat attestant de la production et de la neutralité CO2 est vendu en Suisse et que le gaz naturel normal est finalement acheminé vers la Suisse par le gazoduc. Comme le certificat n'est pas reconnu par la Suisse, la taxe sur le CO2 s'applique à la quantité totale de biogaz importé vendu. Les clients paient donc plus cher pour du biogaz neutre en CO2, à cause d'une taxe sur le CO2 qui est en fait prévue pour le gaz fossile.

Nous avons donc le paradoxe suivant : le fournisseur de gaz fait la promotion d'un produit écologique, neutre en CO2, et la Confédération taxe ce même produit avec une taxe d'incitation qui vise en fait à dissuader la population d'acheter le produit.

Ce serait comparable à la situation où la brasserie devrait payer une taxe sur l'alcool pour sa bière sans alcool, où l'on utiliserait de l'eau de pluie pour la chasse d'eau de l'établissement mais on devrait tout de même payer des taxes de prélèvement d'eau, ou encore où il faudrait acheter une vignette autoroutière alors que l'on ne fait que du vélo.

Cela doit changer : La taxe sur le CO2 doit être prélevée sur les sources d'énergie fossiles, mais pas sur le biogaz neutre en CO2 ou, à l'avenir, peut-être sur le gaz synthétique. Et bien que le Conseil fédéral ait annoncé une solution il y a des années déjà, nous en sommes toujours à la case 0. Nous devons maintenant augmenter la pression et exiger une solution, car comme nous l'avons dit au début : ce n'est qu'avec un mix énergétique équilibré et une coordination internationale que nous pourrons réussir le tournant énergétique, et le biogaz ou, à l'avenir, le gaz synthétique produit à partir de l'électricité solaire et éolienne excédentaire de toute l'Europe en fait partie.

Le Conseil national n'a pas encore pu se prononcer sur ma proposition.

Informations : www.parlament.ch

Je suis aussi candidat au Conseil des États

Le 22 octobre, les deux sièges du Conseil des États seront également attribués dans le canton de Zurich. Comme un sortant se retire, la situation initiale est ouverte. Jusqu'à présent, le PEV n'est représenté qu'au Conseil national. Afin que nos propositions et nos idées soient également représentées au Conseil des États, ma collègue Lilian Studer (AG), mon collègue Marc Jost (BE) et moi-même nous présentons également à l'élection au Conseil des États.

 

Photos à télécharger

Contacter Nik Gugger

Ce site web utilise des cookies. Par la navigation que vous y poursuivez, vous en acceptez l'utilisation et donnez votre consentement avec notre politique de protection des données.