Lilian Studer

« Pour une bonne vie il faut un environnement intact, une cohabitation respectueuse et des familles fortes ! C'est pour cela que je m'engage. »

Nom
Lilian Studer
Année de naissance
1977
Domicile
Wettingen
Profession
Gestion de NPO
Enseignante de travaux textiles
Mandate
Conseillère nationale
Présidente du PEV Suisse
divers mandats bénévoles
Website
www.lilianstuder.ch

Smartspider

255075100Offene Aussenpolitik Liberale Wirtschaftspolitik Restriktive Finanzpolitik Law & OrderRestriktive Migrationspolitik Ausgebauter Umweltschutz Ausgebauter Sozialstaat Liberale Gesellschaft

Pour notre bonne cohabitation

Notre société, notre environnement, bref, notre vie en commun me tiennent à cœur. C'est ce qui me motive à agir en politique et pour notre pays. De plus, je trouve que c'est un privilège de pouvoir contribuer à façonner notre société sur le plan politique : " Recherchez la prospérité de la ville..." n'est pas un slogan important pour rien.

J'aime travailler en politique. L'écoute m'y aide tout autant que ma façon de travailler : constructive et non dogmatique; la recherche de solutions par-delà les frontières des partis. Je me laisse guider par des valeurs telles que la durabilité, la justice et la dignité humaine. Ce sont mes points forts et mes convictions. Pour moi, une fonction politique est un service rendu aux citoyens. En d'autres termes : " Pour notre bonne cohabitation".

Curriculum vitae

Carrière politique

  • depuis juin 2021, Présidente du PEV Suisse
  • depuis décembre 2019 Conseillère nationale (Commission de la science, de l'éducation et de la culture, Commission de gestion)            
  • 2011 – 2019 Présidente du droupe parlementaire PEV (depuis 2017 avec le PBD) au Grand conseil d'Argovie
  • 2004 – 2008 Présidente du Jeune PEV Suisse
  • 2002 – 2019 Députée au Grand conseil argovien (Membre de diverses commissions au cours des années, Présidente de la Commission de la justice à partir de 2017)

Derniers emplois

  • 2021 – 2022 Mandat de soutien à la direction de la Croix-Bleue AG/LU
  • 2014 – 2021 Direction de la Croix-Bleue AG/LU

Mandats bénévoles

  • depuis 2023, Membre de la Commission de l'école technique ABB  https://www.abbts.ch
  • depuis 2020, Conseillère de World Vision Schweiz www.worldvision.ch
  • depuis env. 2017, Membre du groupe de travail « Société et politique » de la Croix-Bleue Suisse www.blaueskreuz.ch
  • autres : Membre du comité du FC Helvetia, Membre du comité de patronage de l'association Doppeltür
  • précédemment : e.a. Présidente de Benevol Aargau - Centre d'expertise et de médiation du bénévolat, Conseillère de Palliative Aargau

Mes interventions au Parlement

Avec ma longue expérience politique cantonale, c'est pour moi un privilège de représenter le canton d'Argovie au Conseil national depuis 2019. La première législature a donc été marquée pour moi par un nouveau départ politique, au niveau fédéral, avec de nombreux thèmes intéressants mais aussi importants. Malheureusement, elle a aussi été marquée par de nombreuses crises qui nous ont obligés à réagir rapidement.

Je suis membre de la Commission de la science, de l'éducation et de la culture du Conseil national et, depuis 2022, également de la Commission de gestion. Je suis aussi suppléantze à la Commission de la santé et des affaires sociales, à la Commission juridique, à la Commission judiciaire et à la Commission de politique extérieure. C'est dans le travail en commission que se déroulent les discussions importantes et les travaux préparatoires.

Outre le travail en commission, j'ai la possibilité, en tant que Conseillère nationale, de suggérer des modifications législatives ou de demander des rapports par le biais d'interventions. Cinq d'entre elles sont présentées ci-dessous.

La protection des victimes au moyen du travail des auteurs des violences

En 2021, la Confédération et les cantons se sont mis d'accord sur une feuille de route pour endiguer la violence domestique. Alors que beaucoup a été fait dans le domaine de la protection des victimes, il reste encore beaucoup à faire dans le champ d'action 8 de la feuille de route, à savoir le travail des auteurs de violence. Mais ce qui est important, c'est que le travail des auteurs est un domaine d'activité important dans la prévention des fémicides ou de la violence sexospécifique. Pour que l'auteur cesse à long terme de recourir à la violence, il doit assumer la responsabilité de ses actes. Des mesures d'accompagnement ciblées ou des programmes spécialisés visent à faciliter ce processus, à interrompre la violence domestique persistante, à prévenir le risque de récidive ainsi que la transmission de comportements violents de génération en génération.

Le Conseil fédéral doit examiner comment un travail systématique avec les auteurs de violence peut être encouragé. Il s'agira notamment d'examiner si, à l'instar de la Loi fédérale sur l'aide aux victimes d'infractions (LAVI), il est possible de poser des exigences aux centres de consultation pour les personnes violentes, de définir la répartition des coûts entre les cantons et de fixer les prestations financières et les tâches de la Confédération. Cela permettrait de créer un cadre national qui garantirait en outre le respect de la Convention d'Istamboul.

Plus d'informations : www.parlament.ch

Accès volontaire au service civil

En Suisse, le service civil est d'une grande utilité pour l'ensemble de la société. En 2021, plus de 1,7 million de jours de service civil ont été effectués. Une grande partie d'entre eux dans les domaines de la santé, des soins et du social. Ces affectations sont utiles par leur effet direct, mais elles renforcent également la cohésion entre les générations et les régions du pays et permettent aux civilistes d'acquérir de précieuses expériences. De nombreuses personnes en Suisse sont toutefois exclues de ces affectations. L'engagement pour la société dans le cadre du service civil doit donc également être rendu possible pour ces groupes de personnes.

Par mon intervention, je demande un accès direct au service civil pour le grand public. Il peut s'agir par exemple de femmes ou d'étrangers établis en Suisse. J'ai déposé cette intervention le 15 juin 2023. Mais en raison des nombreux points à l'ordre du jour, il faudra peut-être attendre plus d'un an avant que nous ne traitions cette question au Conseil national.

Plus d'informations : www.parlament.ch

Réintroduction, dans la Loi sur l'aide aux victimes d'infractions, de la possibilité d'indemniser les victimes d'actes de violence commis à l'étranger

Après l'attentat de Louxor en 1997, qui a coûté la vie à 36 Suisses et en a blessé de nombreux autres, la Loi sur l'aide aux victimes a été modifiée de manière à supprimer les indemnisations et les réparations morales pour les victimes d'actes de violence ou de terrorisme commis à l'étranger. Jusqu'alors, un citoyen suisse résidant en Suisse pouvait demander une indemnisation à son canton s'il ne recevait pas de prestations suffisantes de l'État étranger. Cette possibilité a été supprimée au motif que cela pourrait être trop coûteux pour les cantons.

Cet argument n'est pas recevable. Personne ne peut choisir d'être victime d'un attentat et encore moins de choisir l'endroit où il sera attaqué. Chaque année, des innocents sont tués, blessés ou traumatisés par la violence dans le monde entier. Le drame de la fonctionnaire de l'Assemblée fédérale, violée et assassinée en Thaïlande en août dernier, nous a tous choqués. Face à ces actes de violence qui ne cessent d'augmenter, la Suisse doit accompagner et soutenir davantage les victimes et leurs proches.

Par mon intervention, je demande au Conseil fédéral de modifier la Loi sur l'aide aux victimes d'infractions afin que les victimes d'attentats ou d'autres actes de violence graves commis à l'étranger puissent à nouveau obtenir une indemnisation ou une réparation morale.

Le 4 mai 2023, le Conseil national a adopté mon motion par 109 voix contre 67 et 8 abstentions. Maintenant le Conseil des États doit encore donner son accord.

Plus d'informations : www.parlament.ch

Promotion du coworking régional

Environ 50 pour cent des employés en Suisse pourraient travailler indépendamment de leur lieu de travail (Deloitte 2016). La crise du Corona a prouvé que cela était également possible dans la pratique. Travailler uniquement dans un bureau à domicile n'est pas une bonne solution pour tous : il manque souvent l'échange social, l'infrastructure professionnelle et une séparation entre vie professionnelle et vie privée.

Le coworking régional est une solution réaliste. Cela permettrait à au moins 2,5 millions.de salariés de travailler à proximité de leur domicile (50% du total de 5 millions, OFS 2018). Le coworking régional favorise la création de valeur locale, améliore la qualité de vie et désengorge les infrastructures de transport. La Suisse contribue ainsi à la réalisation des objectifs en matière de CO2 et de développement durable (ODD 3, 8, 9 et 11).

Pour atteindre ces objectifs, il faut une offre couvrant l'ensemble du territoire. La base a été posée par des initiatives privées. La mise en place dans les régions, qui constitue un défi, nécessite le soutien des pouvoirs publics. Les espaces de coworking ainsi soutenus doivent répondre à un besoin régional et avoir un impact durable : économique, écologique et social.

Par un postulat conjoint, nous voulons charger le Conseil fédéral d'examiner des solutions d'économie de marché pour promouvoir le coworking régional. Un rapport doit mettre en évidence les mesures qui permettront de créer au moins 100'000 emplois communautaires régionaux d'ici à 2030, avec des avantages économiques, écologiques et sociaux.

Plus d'informations : www.parlament.ch

La Banque nationale suisse doit avoir une politique monétaire stable grâce à la prise en compte des risques climatiques.

L'article 5 de la loi sur la Banque nationale définit le mandat de la BNS.

L'article 5 de la loi sur la Banque nationale définit le mandat de la BNS. Il stipule que la BNS mène la politique monétaire dans l'intérêt général du pays, assure la stabilité des prix et tient compte de l'évolution de la conjoncture.

Au cours des dernières années, la BNS a indiqué à plusieurs reprises qu'elle avait déjà pris plusieurs mesures pour tenir compte des risques climatiques dans le cadre de son mandat. Le discours d'Andréa Maechler et de Thomas Moser sur "Les risques climatiques et les banques centrales du point de vue de la BNS" du 14 novembre 2019 en est un exemple. Parallèlement, et alors que d'autres banques centrales dans le monde vont nettement au-delà des démarches de la BNS à cet égard, la BNS a parallèlement adopté à plusieurs reprises la position selon laquelle son mandat ne lui confère pas une marge de manœuvre suffisante pour prendre pleinement en compte les risques climatiques dans ses décisions et ses instruments de politique monétaire.

La présente initiative parlementaire vise à garantir cette marge de manœuvre et à clarifier le fait que les risques climatiques doivent être pris en compte par la BNS dans la conduite de sa politique monétaire. Elle reflète le fait que les risques climatiques sont considérés dans le monde entier comme des risques financiers significatifs pouvant menacer la stabilité financière et des prix. Les banques centrales se demandent donc globalement non pas si elles doivent faire face à ces risques, mais comment elles doivent le faire. Il est donc dans l'intérêt général de la Suisse que la BNS aborde ces questions de manière proactive.

Informations : www.parlament.ch 

Lilian Studer au Conseil des États

Le 22 octobre, les deux sièges du Conseil des États seront également réattribués dans le Canton d'Argovie. Comme un sortant se retire, la situation initiale est ouverte. Outre mon bagage d'expériences, ma manière de faire de la politique, par exemple en donnant la priorité à la politique concrète, me prédestine au Conseil des États. Après une législature à droite, je veux "réintégrer" politiquement la délégation du canton d'Argovie au Conseil des États. "Lilian Studer sur chaque bulletin de vote", telle est ma proposition.

Si cela ne devait pas fonctionner, mon objectif est de continuer à être Conseillère nationale, avec plaisir. Le meilleur moyen de me soutenir est de déposer dans l'urne la liste principale du PEV sans la modifier le 22 octobre 2023.

Photos à télécharger

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